Après mon échec, j’ai décidé d’être mat, et je suis donc parti bronzer sous le soleil turque de Bodrum. (Je commence avec une blague, parce que je risque de ne pas être très drôle encore dans ce billet… cette série a un côté nombriliste, plutôt amusant à écrire mais sûrement beaucoup moins à lire ; j’écris aussi pour me raviver les souvenirs, et je partage parce que c’est dans l’ère du temps, mais voilà…)
Bref, après les vacances, passées en partie sur MSN Messenger avec un ami de médecine (G.), et un de musique (Y.), la deuxième partie d’échecs a pu recommencer… Je connaissais les pièges de l’adversaire même s’il s’était renouvelé ; par exemple, cette fois ce n’était plus les biophysiciens qui s’étaient lâchés, mais les statisticiens — ne nous y trompons pas, j’ai une note parmi les meilleures, avec mon pauvre 13.5… « That’s P1 ! »
La première P1, je l’avais faite un peu plus en solitaire, avec une nouvelle amie et quelques anciens que je recroisais au gré des semaines. Je sortais peu, je venais à Lille uniquement pour les cours et rentrais aussitôt chez moi ensuite. Cette fois, j’avais surtout retrouvé G., un ami de collège (avec qui j’étais toujours en contact, surtout via MSN comme je disais) : en septembre, il avait dû quitter sa résidence universitaire (en travaux) pour rejoindre la mienne — dont je parlerai dans un des trois prochains billets, qui sera donc officiellement sous le signe du LOL.